Une fois que la loi soit
promulguée Il faut la faire respecter et s’assurer que personne ne l’ignore. Quand on fait passer les slogans
au moment des événements culturels.
Un réseau d’avocat
doit se développer pour le droit des personnes handicapées.
Il faut beaucoup plus
d’écoles pour les personnes handicapées et ceci dans les villes de province également.
En ma connaissant il
y a eu avant le séisme une seule école pour les enfants handicapés L’Ecole St Vincent.
Les familles ayant un
enfant handicapé refusait de présenter cet enfant comme l’on présente son enfant habituellement a des amis a son grand
père ou a sa grand’ mère. Au contraire ces familles cachaient l’existence de leur enfant handicape.
C’est avec cette
mentalité que l’enfant handicapé grandi, en se cachant, afin que personne
ne le voie. C’est comme si il était une malédiction pour sa famille même pour son entourage. Bien entendu cela a changé
après la catastrophe du 12 Janvier qui a frappé plus de famille d’handicap physique.
Avant le 12 janvier 2010
on ne voyait pas beaucoup d’enfant handicapé dans des écoles.
De toutes les manières
les familles qui avaient tentée de mettre leurs enfants à l’école se trouvaient dans l’impossibilité de les faire
accepter par les directeurs d’école. Ces directeurs les referaient à l’Ecole St Vincent. Une petite école pour
enfants handicapées physiques qui ne pouvait pas accepter beaucoup d’élèves.
Je l’ai bien dit,
l’école St Vincent était une petite école à la Rue Pavée qui ne pouvait pas absorber tous les enfants handicapées du
pays.
Pourtant avec la politique
de la décentralisation, et les droits de l’homme je n’ai jamais entendu parler de création d’école pour
enfants handicapés, dans les villes de province.
Pour l’intégration
des personnes handicapées, en plus des pentes d’accès pour personnes handicapées physiques, il faut qu’on commence
a avoir a la banque et au Marché, des caisses réservées au personnes handicapées
et des places réservées aux P.H. dans les bus au cinéma au théâtre au restaurant.
Il faut qu’on les prenne en compte à l’école, à la clinique et aussi dans les prisons. Ce n’est plus une petite minorité qui est handicapées physique puisqu’après la catastrophe du
12 Janvier 2010 le nombre de personnes handicapées s’est multiplié.
Pour toutes ces raisons
je me suis donner pour mission de mettre une partie du futur St Antoine Campus a Kenscoff a la disposition des classes ateliers
pour les personnes handicapées.
Pour intégrer les personnes
handicapées sur le marché du travail il faut d’abord les préparer dans l’apprentissage d’un métier, après
leur cycle scolaire.
Non seulement St Antoine Campus comprendra des classes pour les cours classiques,
des cours professionnels. Il comprendra aussi des cours extra professionnel : de civisme, d’hygiène, psychologique,
sportifs, de fines arts, de théâtre, de secourisme etc.
Le Campus aura une zone pour les garçons et une zone pour
les filles. Il y aura aussi des élèves internes et des élèves externes avec demi-pension.